Les PME pas seules face à la numérisation

CSEM. Le directeur Mario El-Khoury (en interview) explique que le 4.0 est plus accessible qu’il n’y paraît.

Si le CSEM (Centre Suisse d’Electronique et de Microtechnique) est un «plus» pour la grande industrie, c’est un «must» pour les PME. Mario El-Khoury, qui dirige le centre de développement technologique basé Neuchâtel depuis 2009, rend compte dans son interview du défi technologique permanent auquel fait face l’industrie manufacturière de Suisse. Une activité absolument clé pour le dirigeant, dont le futur tient dans sa capacité d’innovation.
Et, aujourd’hui, dans sa capacité à intégrer les paramètres de la numérisation et de l’advanced manufacturing. Un défi de taille pour un tissus économique surtout tissé de micro-entreprises. Un défi technologique majeur marqué par une complexité inédite, mais aussi, peutêtre surtout, un challenge culturel: convaincre les PME que la numérisation n’est pas un sommet inaccessible réservé aux colosses de la Silicon valley. L’intégration des nouvelles technologies se construit étape par étape, de manière ciblée et dans un esprit de pure spécialisation. Très exactement la vocation d’un centre comme le CSEM, qui a lui-même été construit à partie de l’horlogerie – à l’origine de la première montre à quartz il y a exactement 50 ans cette année -, mais qui s’adresse aujourd’hui à beaucoup d’autres secteurs de pointe, du photovoltaïque à l’astrophysique. Mais sans avoir jamais quitté sa spécialité, le microtechnique.

Lire l’interview complète de Mario El-Khoury
Source : l’Agefi du 28 août 2017

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Les PME pas seules face à la numérisation

CSEM. Le directeur Mario El-Khoury (en interview) explique que le 4.0 est plus accessible qu’il n’y paraît.

Si le CSEM (Centre Suisse d’Electronique et de Microtechnique) est un «plus» pour la grande industrie, c’est un «must» pour les PME. Mario El-Khoury, qui dirige le centre de développement technologique basé Neuchâtel depuis 2009, rend compte dans son interview du défi technologique permanent auquel fait face l’industrie manufacturière de Suisse. Une activité absolument clé pour le dirigeant, dont le futur tient dans sa capacité d’innovation.
Et, aujourd’hui, dans sa capacité à intégrer les paramètres de la numérisation et de l’advanced manufacturing. Un défi de taille pour un tissus économique surtout tissé de micro-entreprises. Un défi technologique majeur marqué par une complexité inédite, mais aussi, peutêtre surtout, un challenge culturel: convaincre les PME que la numérisation n’est pas un sommet inaccessible réservé aux colosses de la Silicon valley. L’intégration des nouvelles technologies se construit étape par étape, de manière ciblée et dans un esprit de pure spécialisation. Très exactement la vocation d’un centre comme le CSEM, qui a lui-même été construit à partie de l’horlogerie – à l’origine de la première montre à quartz il y a exactement 50 ans cette année -, mais qui s’adresse aujourd’hui à beaucoup d’autres secteurs de pointe, du photovoltaïque à l’astrophysique. Mais sans avoir jamais quitté sa spécialité, le microtechnique.

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Source : l’Agefi du 28 août 2017

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