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La nouvelle Rouleuse AR20 de la société AdTime

La nouvelle Rouleuse AR20 de la société AdTime Publié le janvier 16, 2025 Précision microscopique et polyvalence inégalée : la Rouleuse AR20 révolutionne le roulage  des pignons avec son automatisation programmable et ses options de chargement sur mesure. La nouvelle Rouleuse AR20 est une petite révolution pour l’industrie du roulage des pignons. En effet, celle-ci est non seulement très précise (+/- 1 micromètre de précision après le roulage), elle est notamment équipée d’un automate CN programmable et assistée d’un système de règles de mesure avec positionnement des axes à l’écran pour plus de confort lors de la mise en train et de l’utilisation. Afin de s’adapter de manière optimale aux besoins variés des clients, la nouvelle Rouleuse AR20 présente également différents systèmes de chargement, notamment le chargement manuel classique avec cibles à encoches (Ø 8 mm et Ø 27 mm) ou en combinaison avec un chargeur de type W20, ainsi qu’un chargement automatique avec bol vibrant. Une version modulable de la machine est également disponible, afin d’alterner les modes manuels et automatiques selon les tailles des lots de pièces à produire. Découvrir AdTime Partager cet article Facebook Twitter Youtube News 25 avril 2025 Emissa dévoile le Precimill, un centre d'usinage compact et performant 25 mars 2025 Medtech – a rapidly expanding part of the EPHJ Show 20 mars 2025 CMT RICKENBACH – Photochemisches Ätzen: ein subtiles Verfahren für flache Bauteile 20 mars 2025 WatchDec – die Hochpräzision im Dienst der Medizintechnik Afficher toutes les news

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Innovation, positionnement prix, opportunités : retour sur les tendances du marché horloger à l’occasion des Geneva Watch Days

Innovation, positionnement prix, opportunités : retour sur les tendances du marché horloger à l’occasion des Geneva Watch Days Publié le décembre 7, 2024 par Alexander Friedman, AF Luxury Consulting Le Geneva Watch Days, événement marquant dans l’horlogerie, a connu un record de participation avec près de 70 exposants. Cet événement, initialement informel et convivial, est devenu une plateforme incontournable nécessitant une organisation rigoureuse. Les marques émergentes en sont particulièrement attirées grâce à des coûts moindres, mais l’évolution vers un format plus vaste pose des questions sur l’avenir de son atmosphère unique. Apparition de marques émergentes Une vague de nouvelles marques se distingue par leur approche disruptive ou leur orientation vers le style néo-vintage. Ces marques partagent souvent deux caractéristiques : Prix agressifs : Positionnées entre 500 et 2500 CHF, elles privilégient des mouvements abordables (Myota, Seagull, Sellita) et des designs simples. Homogénéité stylistique : Les produits ont une faible créativité, reprenant des modèles inspirés des années 1940-1960, ce qui les rend uniformes sur le marché. Défis et opportunitésCes marques néo-vintage et disruptives jouent un rôle intéressant : Impact sur l’industrie : Elles popularisent l’horlogerie mécanique auprès d’un nouveau public, bien que leur poids économique soit encore marginal. Limites potentielles : L’absence d’innovation majeure et la dépendance aux reproductions pourraient limiter leur croissance à long terme. Contribution à la diversification : Elles enrichissent le marché en explorant des niches et en revitalisant des marques oubliées. Innovation et durabilitéL’innovation varie considérablement entre ces nouvelles marques : Startups futuristes : avec par exemple des designs audacieux utilisant des ressources techniques simples. Engagement écologique : avec par exemple une horlogerie durable et avant-gardiste. Approche équilibrée : après des débuts disruptifs, certaines d’entre elles adoptent une voie plus traditionnelle avec des ateliers plus locaux.  Conclusion : des opportunités et des incertitudes Ces marques émergentes représentent un phénomène fascinant dans l’industrie horlogère. Si elles apportent une bouffée d’air frais et démocratisent l’accès aux montres mécaniques, leur avenir dépendra de leur capacité à innover et à maintenir une différenciation suffisante face aux acteurs établis. Leur rôle actuel, bien qu’à la marge, participe à la dynamique globale de l’horlogerie. Cette synthèse met en lumière les tensions entre tradition et innovation, ainsi que les perspectives de ce segment en pleine effervescence. Synthèse extraite de l’AF. Watch Report édité par AF. Luxury Consulting Partager cet article Facebook Twitter Youtube News 25 avril 2025 Emissa dévoile le Precimill, un centre d'usinage compact et performant 25 mars 2025 Medtech – a rapidly expanding part of the EPHJ Show 20 mars 2025 CMT RICKENBACH – Photochemisches Ätzen: ein subtiles Verfahren für flache Bauteile 20 mars 2025 WatchDec – die Hochpräzision im Dienst der Medizintechnik Afficher toutes les news

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Nouvelle CCT, compensation, formation et attractivité de la branche… : un entretien exclusif avec Ludovic Voillat, Secrétaire général de la Convention Patronale de l’industrie horlogère suisse

Nouvelle CCT, compensation, formation et attractivité de la branche… : un entretien exclusif avec Ludovic Voillat, Secrétaire général de la Convention Patronale de l’industrie horlogère suisse Veröffentlicht am décembre 7, 2024 En vigueur depuis quelques mois et valable jusqu’en 2029, la nouvelle CCT pour les industries horlogères et microtechnique concerne 500 entreprises et près de 55’000 employés, soit 85% des travailleurs de l’horlogerie. Pourriez-vous nous expliquer les principales nouveautés de cette CCT et ce qu’il faut en retenir ? Oui, après une année de discussions, la nouvelle mouture de notre texte conventionnel est entrée en vigueur cet été. Parmi les améliorations pour les collaborateurs, on peut souligner : Une augmentation des congés parentaux : 3 semaines pour le congé paternité et 19 semaines pour le congé maternité. Une hausse de la participation patronale aux primes maladies, qui passe désormais à 195 CHF. Du côté des employeurs, des avancées notables ont également été obtenues, notamment une réduction des délais de protection en cas de maladie après un licenciement, offrant plus de flexibilité dans la gestion des effectifs. Philippe Bauer, président de la CPIH et Ludovic Voillat, secrétaire général de la CPIH lors de la signature de la CCT S’agit-il pour vous d’un véritable compromis équilibré entre avancées sociales et maintien de la compétitivité des entreprises ? Les négociations apportent toujours leur lot de frustrations, tant d’un côté que de l’autre. Nous avons la chance de vivre dans un pays où le consensus est valorisé et où le dialogue entre partenaires sociaux reste possible. Même si les discussions peuvent parfois être animées, elles aboutissent souvent à des améliorations. Cependant, il est important de reconnaître que nous avons atteint un certain plafond en matière de grandes avancées sociales, comme la réduction du temps de travail, par exemple. De plus, il devient crucial de préserver la flexibilité des entreprises, qui doivent déjà faire face à de nombreuses obligations légales et à la charge administrative particulièrement lourde qu’elles provoquent.  Y’a-t-il des sujets qui n’ont pas été tranchés avec les syndicats et qui restent en débat ? Bien entendu, certains sujets restent en discussion, et c’est tout à fait normal dans le cadre du dialogue social. Les négociations entre partenaires sociaux sont un processus continu qui évolue avec le temps et les enjeux de la branche. Cependant, par respect pour la confidentialité des échanges et pour préserver un climat de confiance avec nos partenaires, nous avons pour habitude de ne pas communiquer publiquement sur ces points tant qu’ils n’ont pas abouti. Notre objectif reste de parvenir à des solutions équilibrées, dans l’intérêt des collaborateurs et des employeurs. Malgré une conjoncture incertaine, vous nous confirmez que les employeurs vont accorder la compensation complète du renchérissement à leurs employés. Concrètement, qu’est-ce que cela se traduira pour les employés de la branche ? Les discussions concernant l’allocation de renchérissement au 1er janvier 2025 ont eu lieu cet automne entre le syndicat UNIA et les représentants des entreprises horlogères et microtechniques. Effectivement, celles-ci ont principalement porté sur les perspectives économiques pour l’année à venir et le manque de visibilité quant à son évolution. Malgré les inquiétudes liées aux défis économiques actuels et futurs, les entreprises ont décidé d’accorder la compensation complète du renchérissement (Fr. 65.-) à partir du 1er janvier 2025, marquant ainsi leur engagement à soutenir leurs collaborateurs face à l’inflation et à la hausse du coût de la vie. Selon vos informations, est-ce que les métiers de l’horlogerie et des microtechniques attirent toujours autant les jeunes suisses ? Oui, ces métiers continuent d’attirer les jeunes. Cependant, leur promotion reste un enjeu central pour la branche. Comme dans d’autres secteurs, nous devons redoubler d’efforts pour les valoriser, car l’intérêt des jeunes s’oriente de plus en plus vers des domaines tels que le commerce, la santé, le social ou encore l’informatique, au détriment des professions plus manuelles. Est-ce que le nouveau Brevet fédéral de Responsable d’atelier dans les domaines de l’horlogerie est un succès ? A qui s’adresse-t-il en priorité ? Il est encore un peu tôt pour parler de succès, car cette nouvelle formation a débuté seulement cet été dans deux écoles romandes : le CEFF à St-Imier et l’Ifage à Genève. Une session en langue allemande devrait également démarrer à Granges en 2025. Ce brevet fédéral a été conçu à la demande des entreprises, avec un contenu spécialement adapté aux spécificités de l’industrie. Il s’adresse en priorité aux collaborateurs expérimentés souhaitant évoluer vers des fonctions de gestion d’atelier ou de coordination dans le secteur. Y a-t-il encore des offres d’emploi qui ne sont pas satisfaites dans certains métiers de l’horlogerie, avec des profils très rares et très recherchés ? Dans la conjoncture actuelle, les préoccupations des entreprises se concentrent davantage sur d’autres priorités. Cependant, il est évident que les profils très spécialisés suscitent toujours un fort intérêt de la part des employeurs. Quels sont les prochains challenges importants de la Convention patronale ? Les défis sont nombreux au regard des missions dont notre faîtière a la responsabilité. Tout d’abord, il s’agit de continuer à défendre les intérêts de la branche en garantissant des conditions-cadres optimales, tout en préservant la paix sociale et un dialogue constructif avec nos partenaires sociaux. Ensuite, il est essentiel de soutenir nos entreprises en leur proposant des outils modernes et adaptés, afin de les accompagner face aux nombreux défis, notamment en matière de santé physique et psychique des collaborateurs. Un autre enjeu majeur est de poursuivre le développement des formations en les adaptant aux besoins évolutifs de la branche, pour garantir l’excellence et la compétitivité de notre secteur. Enfin, nous devons renforcer l’attractivité de nos métiers auprès des jeunes, en modernisant leur image et en valorisant les opportunités qu’ils offrent. Propos recueillis par Stephan Post, EPHJ News 25 avril 2025 Emissa dévoile le Precimill, un centre d'usinage compact et performant 20 mars 2025 WatchDec, la haute précision au service du MedTech 20 mars 2025 PRECITRAME – Une micromachine flexible pour les petites séries de pièces miniatures 20 mars 2025 Un pôle MedTech en pleine expansion au cœur du salon EPHJ Afficher toutes les

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En nano-usinage, qui peut le moins peut le plus

En nano-usinage, qui peut le moins peut le plus Publié le octobre 30, 2024 Salon de la précision horlogère, l’EPHJ accueille des sous-traitants aux talents extraordinaires. L’entreprise haut savoyarde Vuichard SAS en fait partie. Appuyant son savoir-faire sur près de 60 ans d’expérience en usinage d’extrême précision, elle propose une fois de plus des exploits en nano-usinage sur le salon EPHJ 2025. Ils se vérifient par des exemples à découvrir sous une forte loupe. Tous sont obtenus grâce à des moyens d’exception. L’électroérosion par enfonçage et la découpe par fil ont été à l’origine de l’entreprise. Le parc d’une dizaine de machines de micro-érosion, utilisant du fil à partir d’un diamètre de 0,03 mm en témoigne. Le micro-perçage de trous de seulement 0,025 mm de diamètre devient possible dans l’atelier d’érosion par enfonçage. En micro-fraisage 5 axes, son centre Matsuura à bâti gratté – broche 60 000 tours, déplacement à 0.1μ, fraises de diamètre à partir de 0,04 mm – réalise des travaux d’une finesse inégalée dans des aciers d’une dureté allant jusqu’à 65Hrc. Le micro-tournage fait également partie de ce savoir-faire. Grâce à la précision du centre 5 axes Matsuura LX-O, la réalisation d’électrodes de précision autorise des opération d’enfonçage de formes, d’une qualité impossible à réaliser autrement Ces technologies ont notamment contribué à la création d’une montre d’exception, alliant micro-érosion et usinages sur cristal de silicium. Spécialistes des réalisations impossibles, le céramiste Hardex et le sous-traitant français Vuichard ont su répondre aux défis proposés par le designer. D’autres challenges, récemment relevés par SAS Vuichard, seront à découvrir sur son stand en 2025. A l’image de l’entreprise, cet espace est modeste mais révèle de grandes réalisations dans le très petit ! Michel Pech Partager cet article Facebook Twitter Youtube News 25 avril 2025 Emissa dévoile le Precimill, un centre d'usinage compact et performant 25 mars 2025 Medtech – a rapidly expanding part of the EPHJ Show 20 mars 2025 CMT RICKENBACH – Photochemisches Ätzen: ein subtiles Verfahren für flache Bauteile 20 mars 2025 WatchDec – die Hochpräzision im Dienst der Medizintechnik Afficher toutes les news Partager cet article Facebook Twitter Youtube